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27 avril 2020 1 27 /04 /avril /2020 18:49

 

Un jour, quand tu auras un peu vieilli,

Savourant un repos bien mérité,

Mon corps aussi étant très fatigué,

On parlera encore du temps béni

Où ensemble nous partions souvent,

Parcourant plaines et collines,

Accompagnés des voix cristallines,

Des chants clairs et limpides des torrents.

 

Puis ensemble nous remémorerons

Les visages et la bonne humeur,

Les discussions et les élans du cœur

De nos fidèles et joyeux compagnons.

 

Nous revivrons les joies et les efforts

Qui nous donnaient la force d’accomplir,

Toujours avec un délicieux sourire,

Nos rêves de nous sentir encore forts !

 

Et lorsque d’en haut nous contemplions

Les champs paisibles étendus en bas

Et malgré nos corps épuisés et las,

Toute la fatigue nous oublierons.

 

Pour ensemble, pouvoir savourer heureux

Quelques instants d’éphémère bonheur,

Ecoutant les battements de nos cœurs

Résonner dans l’espace silencieux.

 

Je sais que toi, ma petite reine,

Ma compagne fidèle et docile,

Comprenais que hors du domicile

On pouvait oublier peine et soucis.

 

Toujours tu seras au fond de mon cœur

Et ensemble dans notre garage

Nous évoquerons notre jeune âge

Et retrouverons un peu de bonheur.

 

Tu n’es qu’une simple bicyclette

Mais nous pourrons toujours nous comprendre,

Nous aimer et converser ensemble

D’une façon simple et muette.

 

 

Depuis le rêve éveillé de Jojo qui a quelque peu chatouillé notre inconscient, la Roue Ensoleillée sommeille.

En lisant ce poème singulier et attendrissant, je n’ai pas hésité à vouloir le partager avec vous.

Relancer un article suite aux mails de Paulo (que je remercie vivement au passage) va nous permettre de balayer cette marée gigantesque dans laquelle nous avons été plongés malgré nous, et d’espérer enfourcher en mai notre amie fidèle, puisqu’il paraît, qu’en ce joli mois nous pouvons faire tout ce qui nous plaît.

Nadine

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27 mars 2020 5 27 /03 /mars /2020 20:31
En ce premier jeudi de Printemps 26 mars 2020, la température était encore un peu fraîche au rendez vous de  Saint Menet, où nos cyclos irréductibles avaient bravé les interdits malgré le confinement imposé pour éradiquer et vaincre l’invisible  mais ravageuse « bébête ».
Le départ, donné à 10h00 sonnantes de Privilège  (sic* Jipi ) nous a permis de dérouiller nos articulations, laissées quelques temps au repos, pour rejoindre Moulin de Redon, afin de récupérer le reste de la troupe et pour certain l’occasion d’effectuer un arrêt technique au bloc sanitaire de la place municipale pour éventuellement, déposer ou prendre,,,, du liquide.
Malgré les buissons en fleurs  et les platanes bourgeonnants, l’ambiance était tristounette, car en guise de bisous ou d’accolades, seul un coup de coude amical et à distance réglementaire permettait de nous saluer réciproquement.
Même le piaillement et les cris stridents des élèves dans la cour de récréation qui nous encourageaient lors de notre passage, ne résonnaient plus, pour briser le silence inhabituel de ce petit village.
La traversée de Saint Zach puis  la montée de la Sambuc n’aura jamais été aussi sereine tant le passage des voitures ou des camions se faisait à  allure modérée dans un espacement considérable, nous permettant de cheminer en  totale sécurité.
Arrivés au cœur de Nans, nous déposons nos montures ça et là, contre les barrières ou les énormes platanes et entrons dans la boulangerie, seul commerce du village ouvert  en ces circonstances particulières.
Au passage du groupe bleu, tel une nuée de sauterelles dans un champ de blés murs, l’étal des sandwichs de l’établissement s’est  retrouvé , copie conforme, à l’image des rayons de pâtes et de PQ d’Auchan, ou de  Carrefour dès l’annonce faite par la presse pour le  confinement général, complètement rasé.
Hélas, pour partager cette pause méridienne habituellement très conviviale, point de bistrot ou de troquet ouvert, point de table aux  terrasses vides, c’est donc sur les bancs de la belle promenade,  orpheline  de  la foule colorée habituelle  que la croûte fût cassée, arrosée sobrement bien entendu et c’est à souligner, avec l’eau de nos gourdes fraîchement remplies à l’entrée du village.
Malgré la distance respectée entre les convives sur les bancs ensoleillés de cette place triste et déserte, quelques paroles  furent échangées, sans que le ton ni les décibels ne brisent la quiétude de l’allée, situation vraiment exceptionnelle pour un jeudi.
 
Vélos enfourchés et casques sur la tête, la lecture de la température clémente relevée sur la croix verte de la pharmacie fît l’unanimité  pour que l’ensemble choisisse de continuer par la Sainte Baume histoire d’allonger  agréablement la balade.
L’ascension s’est faite groupée mais dès les premiers virages l’étirement naturel a permis aux moins rapides d’admirer paisiblement les couleurs printanières de la garrigue et de humer le doux parfum des différentes fleurs irisées, perçant au travers de l’épais  tapis de verdure.
Le plein des bidons effectué à la fontaine du plan d’Aups, nous nous élançons dans la longue descente sinueuse qui mène à Auriol propice aux funambules et aux virtuoses des enfilades, permettant une  relance ludique et grisante à souhait.
Arrivés au rond point d’Auriol, retour au calme dans un regroupement général pour  la séparation  habituelle selon nos chemins de retour respectifs.
Tout à coup un son musical  me fait sursauter, la sonnerie de mon mobile...
J’ouvre les yeux, et me retrouve sous la couette  dans mon lit, il est 9 heures du matin.
Cette sortie d’un jeudi traditionnel n’avait été qu’un rêve éveillé.
Un rêve occasionné peut-être par la lecture attentionnée de tous vos différents mails soulignant que les sorties  hebdomadaires  à vélo nous manquaient sérieusement.
Aussi, comme à toute chose malheur est bon, cela m’aura donné l’occasion, pour pallier ce cloisonnement, de  rassembler ainsi mes rêveuses pensées afin d’alimenter, en ces moments de disette, notre cher blog et d’avoir vécu, en votre agréable compagnie, cette  évasion virtuelle d’un Jeudi imaginaire sur ces belles routes de Provence qui, je le souhaite sincèrement, se concrétisera rapidement dès la fin de ce confinement.
Amitiés sportives
Jo

PS : participants : tous les adhérents
Photos : le flash n’a pas fonctionné dans la nuit, images sous exposées
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22 mars 2020 7 22 /03 /mars /2020 20:43

Car depuis cette date suite à l’épidémie de coronavirus nous sommes confinés et interdiction de sortir sauf pour quelques cas urgents. Voilà, nous sommes à l’arrêt en souhaitant qu’il soit le plus court possible mais j’ai peu d’espoir. Il faudra revoir le calendrier des sorties pour que la reprise soit la plus douce possible.

Ceci dit, cette sortie à la journée préparée par notre ami Jean-Pierre s’est déroulée idéalement grâce à la météo printanière, printemps qui a déjà pointé son nez. Le ciel est bleu et le vent souffle très légèrement en matinée. Mais avant d’arriver à son pied (du col) nous devons grimper quelques bosses et certain(e)s ont peur d’y arriver un peu râpé(e)s.

Photo de Jacques S.

Photo de Jacques S.

Dans l’ordre, vous devez monter le col de la Gineste, Belle Fille, puis vous installer au nombre de 19 en terrasse à La Ciotat en bord de mer pour déguster un bon café et croquer quelques viennoiseries. Le vingtième nous rejoindra plus tard. La dispersion se fait en petits groupes avec ceux qui rejoignent leur domicile directement  en passant par Ceyreste et le Grand Caunet. Pierre nous accompagne jusqu’à St Cyr et pense rentrer depuis le Brûlat et un groupe de quatre (Nad-Jack-Julie-Didier) veut éviter les montées de la Madrague, du Castellet médiéval et du Vieux Beausset mais il en gravira d’autres. Les 8 autres (Anne-René-Joël-Jacques-Paulo-Noël-Patrick G-Denis) en attendant le renfort du treizième (Bernard) vers Le Beausset vont essayer de faire au complet le parcours proposé par Jipi qui nous a fait faux bond craignant le Covid 19. Donc sans le concepteur ce groupe sans carte et GPS commettra une erreur d’aiguillage et n’atteindra pas Le Castellet et encore moins le premier passage au Beausset où Bernard devait s’impatienter. Malgré  cet imprévu, nous arrivons à La Cadière d’Azur et nous empruntons une toute petite route à travers le vignoble AOC Bandol, une route assez pentue avec des passages au pourcentage élevé méritant l’utilisation du triple plateau. Mais nous sommes en pleine nature et très peu fréquentée. A une bifurcation se présente à nous un mur d’au moins 20% et sur notre droite une route bien plus plane. Un cycliste l’emprunte pourquoi pas nous ? Elle doit bien déboucher à St Anne, on verra bien. Nous ne verrons pas Notre Dame du Beausset, tant pis. Seul Jacques en bon grimpeur s’y aventurera sans voir NDame. Après quelques kilomètres en descente, nous arrivons enfin à St Anne d’Evenos. Coup de fil à Bernard qui nous rejoint, message à l’autre groupe qui est déjà à Toulon. Nous descendons dans la fraîcheur les gorges d’ Ollioules, passons sur la grand route cette charmante cité avant de bifurquer sur notre gauche en direction de Toulon pour se pauser au pied du Col de Garde. Le premier groupe s’est installé au restaurant du Baou (ex Drop pour les anciens) que nous fréquentons assez souvent quand nos randonnées à la journée y passent vers midi (Faron-Col de garde) pour reprendre quelques forces. Le deuxième groupe préfère casse croûter su la place. Le premier bien plus rapide finit et repart avant nous après nous avoir salués, le deuxième prend un café au bistro pour avaler ensuite les cinq kilomètres d’ascension du fameux Col. Photo souvenir au sommet avec le panneau du Mont Caume dans notre dos. Il nous attend. Quand ?

14/3/2020          Le Col du Corps de Garde avant le confinement

Belle descente vers St Anne en passant par le Broussan et si le compteur indique pour moi 62 km/h, c’est que la pente est bien abrupte. Je l’ai évidemment grimpée il y a bien longtemps pour aller monter le Faron, c’était dans un autre siècle, n’est-ce pas Bernard ? Nous remplissons nos bidons à la fontaine et à travers vignes nous arrivons au Beausset et voici les six ou sept kilomètres de montée pour atteindre le circuit du Castellet. Les plus en forme ouvrent la route, les autres font pour le mieux. Pensais notre président à l’avant et bien non, il fermait la marche, un petit coup de buis. Toujours pas de 1er groupe. Au Camp idem et nos routes vont se séparer : 4 vers Gd Caunet pour s’offrir malgré le vent qui a forci la Gineste, 4 par Cuges et col de l’Ange. Bernard récupère sa voiture venant de son Var natal.  Descente, OK Coral, Cuges, revers du col et miracle voici le 1er groupe qui arrive du Gd Caunet renforcé par Jacques S. Nous déclinons l’invitation de Nadine à prendre un verre à Gemenos et nous préférons rentrer direct. Ce sera pour des jours meilleurs. Gemenos, Aubagne, St-Menet, vous connaissez la route. Anne rentre en solo, et à 3, vent dans le nez, nous grimpons La Valentine, sa circulation et ses ronds-points. Paulo finit seul car avec Noël, nous faisons une halte à Bouticycle pour un problème de saut de chaîne. Les 3 Lucs, La Rose, la BBF traditionnelle en tête à tête à St Just et rentrée au domicile sans savoir encore que cet endroit deviendrait notre lieu de confinement. Une semaine déjà au moment où j’écris ces lignes et nous ne voyons pas le bout du tunnel. Quand pourrons-nous enfourcher notre petite reine pour nous évader ? Dieu seul le sait. Avez vous des contacts avec lui ?

 

Les chiffres : 139,8 km    1965 D+   7h04’  19,8 km/h  pour moi

Les participants 13 : Nadine et Jack   Julie et Didier  Anne-René-Joël-Patrick G-Jacques S-Bernard-Noël-Paulo-Denis

 

Ces quelques lignes ne sont pas pour les participants mais pour les anciens, les empêchés, ceux qui n’osent pas se lancer sur de longues distances.

 

Rando dans le Var… peloton épars !

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8 mars 2020 7 08 /03 /mars /2020 22:07
Comme aurait dit G. Brassens ... "Heureux qui comme Ulysse" j’ai fait... les Batelières… après 10 ans d’absence.
En ce joli matin d’hiver ensoleillé, le départ de nos 18 cyclos était donné par un starter de luxe, Christian Patrice venu en voiture à St Menet nous souhaiter une bonne randonnée.
Arrivés à l’entrée d’Auriol, la terrasse du café nous attendait, car notre ami Christian Martinez nous a offert le petit noir pour fêter son anniversaire, c’est à dire 2 fois mon chiffre porte bonheur… Pour les curieux, c’est le chiffre qui termine mon année de naissance.  
(Et oui, désigné d’office pour faire l’article… on m’a dit : si tu es à cours d’inspiration, tu « meubles »... mais……… j’en conviens, ce n’est pas  aussi « commode » que ça).
Ensuite arrivés au carrefour du petit Galibier où 4 cyclos ont bifurqué, c’est un groupe, parti « comme à 14 » en direction de Rougiers qui s’est étiré dans un train régulier jusqu’à l’intersection de Mazaugues où Michel G qui retournait sur Marseille nous a souhaité bonne continuation.
Au travers de cette campagne verdoyante,  bosselée  et calme à souhait,  nos « bateleurs » ont  ainsi traversé  les villages de Mazaugues  et de la Roquebrussanne pour se regrouper en haut de la bosse.
Dans la longue descente qui suivit, le silence fut troublé par un spectacle inattendu et stupéfiant.  Une  foultitude interminable de 5 à 600 motards (chiffre confirmé après consultation auprès des copains cyclos)  remontait, disciplinée et en file indienne sur plusieurs kilomètres.  Certainement une concentration de Bikers en : Harley Davidson Yam, Kawa, Suzuki, Ducati et autres Trikes, Roadster Customs Cruisers Spyder Trails, et j’en passe car je n’avais pas mis mon collyre pour tout détailler.
 
Photo de Jack

Photo de Jack

Arrivés à Méounes avec une avance conséquente sur l’horaire,  grâce à la constance, l’élégance et la performance de nos féminines Anne, Julie et Nadine, et la bienveillance de notre Président Paulo,  nous décidons d’attaquer directement la bosse pour aller dévaliser les diverses boulangeries de Signes afin de nous restaurer.
Daniel F. nous ayant quitté prématurément, évita, aux superstitieux, (pas de nom Bernard) d'être 13  à table pour le casse croûte.
C’est  sur la traditionnelle place du marché, ensoleillée à souhait, dominée par son ancienne cabine téléphonique rouge style londonien, transformée pour la circonstance en bibliothèque,  jouxtant  les fauteuils blancs qui nous tendaient les bras, que fut fut prise une collégiale et amicale collation.
Afin d’éviter que les moteurs ne chauffent de trop,  les liquides de refroidissement ont été vérifiés, voire complétés au bar de la place.
Pour terminer les dialogues sans temps morts de ce moment convivial, les cafés nous ont été offerts gracieusement par notre ami Jacques Sola.
La digestion s’est réalisée tranquillement dans la longue montée qui mène au carrefour du  camp du Castellet,  et pour  esquiver  les barrages dans  le Grand Caunet causés par le  rallye de la Sainte Baume,  l’option retour sur Marseille s’est faite par Cuges les pins, Gémenos, Aubagne, et Obi pour la photo de groupe.
 
Photo de Julie

Photo de Julie

Cela faisait exactement 8 ans (1er mars 2012) que Jacques M. m’avait remis  en selle sur son  tamdem après mon accident,  aussi  je  remercie encore une fois  tous les membres de la section  de m’avoir donné la force  par votre patience, de continuer à partager  avec vous ces moments de vélos et d’amitiés inoubliables.
A bientôt sur la route
JO
 
Participants à la sortie :
Christian M. Michel G. Jean M. Jipi  Serge R
Anne Julie Nadine Bernard Daniel Denis Gérard Jacques M. Jacques S. Joël Louis G. Paulo Jo
 
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27 février 2020 4 27 /02 /février /2020 07:31

Nous sommes 17 au RDV Bougainville et peu de temps pour saluer tout le groupe qui sera abondé de 3 unités en cours de route pour être 20 à prendre le café à Châteauneuf les Martigues.  Pour les 6 qui ne souhaitaient pas faire la boucle complète je me devais d’écrire quelques lignes ainsi que pour les absents. Nous restons au complet jusqu’aux portes de Martigues et c’est un peloton de 14 qui sans encombre va traverser la Venise provençale.

Les petites routes hors circulation automobile vont nous conduire à allure cyclo jusqu’à Istres avec de toutes petites bosses qui étirent le peloton avec vue sur notre gauche ou droite des étangs. La pause déjeuner, fourchette ou sandwich en bord d’étang est prévue à St Chamas qui remplace La Fare depuis 2009. Les paysages traversés ont été maintes fois décrits dans les nombreux comptes rendus faits depuis que nous parcourons ces lieux sens horaire ou anti horaire, lire le blog ou les anciennes « Roues Ensoleillées » papier.

 

Le TEB 2020 :  ciel azur et  soleil printanier

Arrivés à St Chamas chacun part faire ses courses au marché ou rejoint le restaurant habituel réservé. La pause déjeuner est courte et cette année peut être à cause des matches rugby (Galles/France) ou foot (OM/Nantes) pas de détour par Cornillon retour direct après la photo du groupe moins les absents pour raisons diverses en bordure du port. Cette fois le parcours officiel est respecté tout au moins jusqu’à Roquefavour car c’est par La Merindole que nous arrivons à Calas. Aucune perte, aucun pépin tout va bien. Louis nous avait quittés bien avant car parti depuis Rognac et maintenant ce sont Gérard et Yves qui rejoignent Simiane point de départ pour eux.

Après le passage à Septèmes chacun va prendre la route lui convenant pour rentrer chez soi. A 4 , Paulo-Jacques S-Noël et moi  décidons de passer par le Vallon Dol-Batarelle pour pimenter la sortie. OK la route est légèrement défoncée mais elle peut s’emprunter en étant prudent. A la Batarelle nous saluons notre ami Alain B qui joue aux boules (pétanque ) , l’occasion de prendre la fameuse BBF clôturant habituellement les sorties.

Voilà en peu de lignes le CR de ce TEB (Tour étang de Berre).  131 KM  1105 D+

 

Le TEB 2020 :  ciel azur et  soleil printanier

Les 6 : Joël (Côte Bleue) - Max-Jean R – Christian M - Michel Ga - Alain M (AR Martigues)

Les 14 : Louis - Yves-Gérard – Jack - Nadine – Anne – Daniel - Alain J – Noël - Jacques S – Paulo – Henri – René - Denis

 

Le tour de l’étang de Berre (TEB)

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16 février 2020 7 16 /02 /février /2020 21:49

Un bon départ avec 29 présences au café de la Pipe, dont exactement la moitié graviront les fameuses Crêtes (je compte le quinzième pour moitié car rien ne permet de dire s’il l’a fait ou non, il nous a quittés prématurément).

Mais la suite fut moins réussie. Malgré des annonces répétées, à l’oral comme à l’écrit, ce n’est pas moins de la moitié de l’effectif qui a choisi d’aller déjeuner à la Ciotat - dans deux lieux séparés. Il faut dire qu’ils ont suivi, via la Vallée du Silence, le leader du jour qui lui-même ne faisait pas partie des 14. Et c’est particulièrement dommage pour deux d’entre eux, comme nous l’apprendrons plus tard.

Anne, Daniel, Jacques, Paulo, Joël, Christian + Alain J.

Anne, Daniel, Jacques, Paulo, Joël, Christian + Alain J.

Mais tout d’abord le pique-nique. Savent-ils seulement de quoi ils se sont privés ? Nous étions pour ainsi dire allongés sur le sable-les pieds dans l’eau, enveloppés d’une douce tiédeur et avec pour horizon les voiles et l’Ile Verte. Il y avait même un drôle d’oiseau de proie qui nous tournait autour. Puis le départ. Arrivés à la Ciotat, Paulo s’est joint aux 5 fourchettes. Pour ma part, je n’ai pas eu le courage d’assister au repas qui n’avait pas l’air très avancé et j’ai enchainé avec les Crêtes, tout en observant bien sûr une distance respectueuse derrière mes 5 camarades.

Et c’est en bas des Crêtes que nous avons eu la surprise de voir arriver Henri et Georges, qui nous ont-ils dit s’étaient sentis bien seuls le matin. C’est d’autant plus regrettable qu’ils participaient à cette classique pour la première fois depuis 9 ans pour Georges et 6 ans pour Henri (si ma mémoire est bonne). En revanche, moi, qui étais encore en mode hiver jusqu’au pied des Crêtes, j’ai bénéficié de plusieurs regroupements sur le tracé officiel, regroupements qui n’ont suscité l’exaspération de presque personne.

Christian, Henri, Georges, Joël, Daniel, Jacques / Denis, Yves, Noël, Didier, Julie
Christian, Henri, Georges, Joël, Daniel, Jacques / Denis, Yves, Noël, Didier, Julie

Christian, Henri, Georges, Joël, Daniel, Jacques / Denis, Yves, Noël, Didier, Julie

Retour par la Gineste avec Henri. Nous partîmes à deux et roulâmes bientôt à trois. Le seul avantage de la pagaille c’est qu’elle multiplie les occasions de retrouvailles. Emue de retrouver en arrivant à la maison le timing qui prévalait avant l’ère de la fourchette.

 

P.S. On m’a fait remarquer que la route des Crête constituait une manière un peu violente de commencer la saison et, même si je m’en accommode très bien, je salue le bon sens de nos prédécesseurs qui programmaient la sortie Mimosas dès le premier WE de février. Depuis quelques années, cette sortie Mimosas arrive plus tard dans la saison, de peur de la voir tomber à l’eau (quoique jusqu’à il y a deux ans, son succès était assuré puisqu’en cas de pluie, elle était systématiquement reprogrammée jusqu’à ce que soleil s’en suive). Mais faut-il privilégier une sortie plutôt qu’une autre, au risque de déséquilibrer le calendrier ? Ce qui a d'ailleurs pour effet de nous priver des fameuses fleurs jaunes au parfum subtil, fanées lors de nos visites tardives. La pluie ne tombe pas forcément plus début que fin février. Retournons aux sources en 2021 !

 

Lancement de la saison 2019

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12 février 2020 3 12 /02 /février /2020 21:59

Notre première sortie « omelette marseillaise » s’était déroulée entre les années 90/93 à Moulin de Redon et voilà qu’en 2020 nous y retournons pour ne pas avoir été acceptés à Lascours lieu devenu traditionnel depuis plus de deux décennies.

Notre responsable des festivités en la personne de Jo P. s’est torturé les méninges pour trouver un établissement pouvant recevoir une trentaine de cyclos et c’est la « Petite Pause » à MdRedon  qui accepta de nous préparer une délicieuse omelette avec en entrée un peu de charcuterie et surtout vins rouge et rosé.

Je vais rappeler d’où vient cette sortie devenue tradition. C’est lors d’une RVA (randonnée vallée de l’Aude) Carcassonne-Font Romeu-Carcassonne au pied du Puymorens exactement à La Tour de Carol (66) que par un froid glacial nous dégustâmes la toute première sur une idée d’Henri R. afin de se réchauffer. Elle fut renouvelée lors d’une traversée des Pyrénées et puis pour se retrouver autour d’une même table en toute convivialité et amitié elle s’est installée annuellement à Marseille.

Depuis la création du blog (2009) vous trouverez de nombreux CR de cette sortie avec de nombreuses photos.  Après cette collation  comme le retour est libre et si la météo est avec nous on peut faire quelques kilomètres pour évacuer le surplus de calories. Cette année il y eut  une dispersion en plusieurs groupes, vers la Sainte Baume-Gineste pour les sudistes, au plus court pour d’autres ou comme mon groupe quelques bosses comme les Boyers-le Pigeonnier-Belcodène-les Termes-Allauch-les 3 Lucs  pour arriver à faire 80 kms et 1060 D+. Il faut bien préparer notre séjour dans le Jura début Juillet.

Voilà l’omelette 2020 est à classer avec tous nos bons souvenirs en en attendant d’autres. Nous étions 27 c’est raisonnable et surtout noter la présence de Tierry A. sur son vélo, celle d’Olivier venu en voiture saluer ses collègues en attendant la reprise vélo aux beaux jours, quant aux absents ils ne savent pas de quoi ils se privent.  A bientôt car les sorties à la journée arrivent hebdomadairement.

 

Ils sont venus, ils sont tous là, elle va souffrir l’ooooooomelette 

 

 

 

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14 janvier 2020 2 14 /01 /janvier /2020 20:28
Mes chers ami(e)s  Cyclos

          C’est avec mon plus grand regret que je vous annonce que la sortie « Omelette » de cette année 2o2o, prévue pour le 25 janvier ne se déroulera pas au Cercle de Lascours,  renommé  l’Entrepôt depuis son déménagement dans ce nouvel édifice.
          En effet, à ma grande surprise, j’ai appris que la nouvelle gérance de cette salle n’était plus en mesure d’assurer la prestation qui nous était chère,  pour des raisons diverses et variées que je ne pourrais  dévoiler afin de respecter le règlement intérieur de cet établissement.
          Il est certain que pour les anciens que nous sommes, nous garderont en mémoire et avec grande  nostalgie, les anecdotes croustillantes  et tous les souvenirs personnels partagés avec tant de cyclos depuis plus de 26 ans dans ce magnifique village provençal.
         Néanmoins, je signale que cette sortie particulière ne sera que déplacée au calendrier, et bien assurée car elle réunit  un maximum de copains qui prennent toujours un immense plaisir à se retrouver dans cette convivialité exceptionnelle.
 
==================================================
 
Pour confirmer que cette classique « Omelette », mise au goût du jour par notre ami Henri Rougé, date de  plus de 2 décennies, je me permets de vous joindre un compte rendu particulier que j’avais rédigé dans des conditions exceptionnelles en... 1996.
Et oui nous étions plus jeunes.
Je pense «  à oeufs »

Bonne lecture
 
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2 janvier 2020 4 02 /01 /janvier /2020 16:21

Ce ne sont pas moins de 8% de la section qui étaient représentés ce matin à St Menet, soit le double de ce que j’espérais ! En fait nous étions 4 à avoir osé mettre le nez dehors sur le vélo par ce temps froid mais baigné de lumière. Pas le moindre souffle d’air, et les rayons du soleil ont beaucoup de mal à faire monter le thermomètre. 3°C sur Marseille à 8h30, et 0°C à venir sur la plaine de Gémenos, où la rosée peine à s’évaporer en nappe de brumes (à moins que ce ne soit un autre phénomène).

Café bienvenu au Bar de la Pipe, et nous le prendrons dedans cette fois-ci. Puis, pour profiter de l’ensoleillement, nous opterons pour la remontée de la vallée de l’Huveaune, même si le passage entre Pont de Joux et Auriol est comme souvent très humide. Malgré cela c’est un vrai plaisir de pédaler aujourd’hui sur les routes si peu

fréquentées en ce lendemain de réveillon. Et bien couverts, on en savoure d’autant les bénéfices. Direction Moulin de Redon, puis ce sera retour au bercail, et avec lui la remontée non pas des bosses puisque nous redescendons, mais de la température : 10°C à midi à St Menet, et toujours autant de soleil. C’était une journée à déjeuner dehors si nous n’étions pas le 1er de l’an, car aujourd’hui la majorité des auberges habituelles ont fermé boutique (« ils sont riches » dirait Denis).

Cela faisait bien longtemps que je n’avais plus tenté la sortie du jour de l’an, et dans ces conditions ce fut un régal en ce milieu de semaine de me faire une coupure « travail ». A l’heure qu’il est les habitués du jeudi sont dehors et quand je regarde par la fenêtre, je suis bien content de ne pas en faire partie. 

A samedi. Nous, on a déjà ouvert notre compteur des challenges, on prend de l’avance…

C’est reparti pour un tour (ou plutôt plusieurs)…
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30 décembre 2019 1 30 /12 /décembre /2019 21:08

…En route pour le JURA…

 

2020, changement de massif. Après les Alpes du Nord , les Pyrénées et les Vosges, place au JURA. Le chalet Hôtel Côté Dôle, aux Rousses (39330), nous accueillera du jeudi 02 juillet au dimanche 05 juillet.

Au « menu », 3 parcours tracés dans le Parc Naturel du Haut Jura côté français, dans le Parc Jura vaudois côté Suisse, pour finir par un parcours  franco-suisse empruntant le célèbre col de la Faucille :  Le 1° jour nous roulerons côté français, avec 121 km et 2063 m D+.  Le 2° jour, changement de décor, avec un parcours sur les routes Suisses, avec 119 km et  2287 m D+ Le 3° jour, itinéraire franco-suisse, avec 80 km et 1450 m D+

Les 3 itinéraires représentent 320 km, pour un dénivelé de 5 800 m D+.

 

Demandez le programme !!!

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Présentation

  • : La Roue Ensoleillée, le blog des cyclotouristes de l'ASPTT Marseille
  • : Puisque nous sommes des cyclotouristes, notre activité est un subtil compromis entre le sport et la convivialité. Donc de la randonnée, petite, grande et très grande, de la culture sans excés et de la bou..., pardon gastronomie, avec excès.
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